Acta Structuralica

international journal for structuralist research

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124953

Réduction phénoménologique et intuition

A propos du rapport Husserl—Ingarden

Jozef Sivák

pp. 51-69

Abstract

La notion de réduction est une des notions “opératoires” les plus importantes de la phénoménologie de Husserl, pour qui elle représentait même la porte d’entrée de la philosophie en général. Sa variété terminologique en témoigne. A prime abord, nous en avions dénombré plus d’une vingtaine d’espèces et d’appellations, tout en laissant aux philosophes informaticiens le soin d’en établir le nombre et la fréquence exacts. Mais très souvent il s’agira des synonymes. C’est le cas des expression telles ἕποχὴ “mise entre parenthèses”, “suspension du jugement”, “neutralisation”, etc. dont le contenu varie, néanmoins, chez Husserl selon le contexte — allant d’une attitude neutre voire impartiale à une attitude franchement sceptique ou même nihilisatrice vis-à-vis d’une chose.

Publication details

Published in:

Rudnick Hans (1990) Ingardeniana II: New studies in the philosophy of Roman Ingarden. Dordrecht, Kluwer.

Pages: 51-69

DOI: 10.1007/978-94-009-1964-8_4

Full citation:

Sivák Jozef (1990) „Réduction phénoménologique et intuition: A propos du rapport Husserl—Ingarden“, In: H. Rudnick (éd), Ingardeniana II, Dordrecht, Kluwer, 51–69.